Une « recherche Google » fait référence aux mots clés que les internautes saisissent dans Google pour trouver des informations sur des sujets, des produits ou des services spécifiques. Par exemple, si vous recherchez un endroit où vous restaurer, vous pouvez taper « restaurant près de chez moi » dans Google Maps. Yourban analyse la fréquence à laquelle ces types de recherches sont effectués dans une zone d'étude spécifique afin de comprendre la demande et les tendances locales.

Dans le monde numérique, nous ne qualifions pas les individus d' « habitants » mais d' « internautes ». Un internaute est un individu qui interagit avec du contenu en ligne, dans une localisation donnée. Ils ne vivent pas nécessairement dans la région qu'ils recherchent : il peut s'agir de travailleurs ou de personnes qui passent fréquemment par là. Cette distinction nous aide à avoir une vision plus large des intérêts et des comportements dans un domaine donné.

Les limites géographiques définissent la zone ciblée, telle qu'une ville ou un quartier, dans laquelle nous suivons le comportement de recherche. Les limites physiques font référence aux limites réelles de la zone sélectionnée (comme les limites de la ville de Paris). Toutefois, les données de Google peuvent inclure des recherches effectuées dans des régions voisines ou dans des zones plus étendues en raison de la manière dont les utilisateurs effectuent des recherches et de la manière dont Google agrège les données.

Une zone de chalandise digitale est l’audience en ligne ciblée autour d’un point de vente, en fonction de critères géographiques et comportementaux. Elle utilise des outils comme le SEO local, la publicité géolocalisée et le géofencing pour toucher des clients potentiels à proximité. Contrairement à une zone de chalandise classique, elle intègre les interactions digitales pour anticiper et influencer les visites physiques. Elle permet ainsi d’optimiser la visibilité locale et de convertir les intentions en trafic en magasin.

Une DNVB (Digitally Native Vertical Brand) est une marque née en ligne qui maîtrise toute sa chaîne de valeur, de la production à la distribution, sans passer par des intermédiaires traditionnels. Elle adopte un modèle direct-to-consumer (DTC), misant sur le digital, les données et l’engagement client pour créer une expérience de marque forte. Contrairement aux simples boutiques e-commerce, une DNVB privilégie le storytelling, la création de communauté et la fidélisation plutôt que des ventes purement transactionnelles. Des exemples connus incluent Sézane, Aromazone ou encore Respire en France.

Le référencement SEO (optimisation pour les moteurs de recherche) et le SEA (publicité sur les moteurs de recherche) aident votre entreprise à apparaître sur Google lorsque les internautes recherchent des mots clés pertinents. Le référencement optimise votre contenu pour qu'il soit classé de manière organique, tandis que le SEA implique des publicités payantes qui s'affichent pour des mots clés ciblés. Les deux méthodes augmentent votre visibilité, génèrent du trafic et attirent des clients potentiels vers votre entreprise.

Les réseaux sociaux imposent du contenu pour développer la notoriété, mais l’audience n’a pas toujours une intention d’achat. Google, en revanche, capte une demande existante : vos clients vous cherchent déjà. Être visible sur Google, c’est toucher des prospects qualifiés, prêts à passer à l’action.

Traditionnellement, les entreprises s’appuyaient sur les données de l’INSEE et les visites en magasin pour recueillir des insights. Le commerce en ligne a prouvé qu’il était possible de concevoir des offres attractives sans ces données, comme l’illustrent les pop-up stores de marques chinoises ou l'essor des DNVB. Prendre conscience de l’importance de la demande via des indicateurs clés, tels que les recherches Google, permet de renforcer l’attractivité. Suivre ces tendances pour des emplacements physiques aligne les offres sur l’intérêt réel des consommateurs.